
10-07-2010
La Bonne, c’est Lionel Charbonnier, pauvre batteur martyrisé à qui on oblige de jouer à la bonne en mettant des tabliers de soubrette.
La Brute, c’est Agathe Beltran, dite Taga, géniale créatrice graphique et bassiste à ses heures, avec des airs de Betty Page démoniaque.
Le Truand, c’est Didier Cromwell, papa d’Anita Bomba, los Minettos, Face de Rat et autres séries punkoïdes, aussi à l’aise en gros riffs qu’en pinceaux.
Ensemble, c’est La Bonne, la Brute et le Truand, seul et unique groupe de punk spaghetti au monde. Rien que ça. Ca dépote, ça remue, ça transpire la Kro et ça se moque gentiment des punks à chien. Et ça donne un album superbement illustré par le Truand de la bande.
En concert au festival Musique en Stock sous un soleil de plomb que n’aurait pas renié Sergio Leone, ils sont venus, ils ont vu (mal, à cause du soleil dans les yeux), ils ont bu, ils ont tout cassu et sont repartu à dada vers de nouveaux squats. Chapeau, hombre !!!!!!
Moi je préfère la groupe « La tarte, le dur et le mafieu »
Le groupe bien sûr (m’apprendra à dire conner*es)
Miss S >> ca existe ce truc ??
Ben vi bien sûr
C’est moi qui fait la tarte (aux pommes)
J’adoooore celle du milieu puissance 1000000 !!
Dounia >> m’dame Taga ? quelle classe, hein !!